Paysages d’une vie

 

Et rongeant mes entrailles

Secouée par la fièvre

blond comme le corbeau

des yeux sans fin

 

Un grand éclat de rire

Le monde entier l’embrasse

 

Le soleil se mirait en riant sur son front

Et les ciels s’effilochaient entre les sourires

 

Et écorchant mon coeur

Sur sa joue lumineuse

l’âme vomissant une agonie délicieuse

Des yeux...

 

Trop de clarté peut-être

Mais que tout mon être réclame.

 

 

 

 

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